1984 - 1988 Belvès: Deux cents kilomètres sur route

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Avant de tenter de marcher cent kilomètres d'affilée en moins de vingt quatre heures, je croyais que le marathon constituait la limite indépassable de la résistance humaine. Le hasard m'a fait suivre, à moto, Serge Cottereau bouclant son cent kilomètre en sept heures et des poussières, et découvrir du même coup la pratique du grand fond.

Que valait mon entraînement de montagnard sur une telle distance? Serais je capable de terminer l'épreuve? Au prix de quels efforts? Curiosité, dénuée de tout esprit de compétition.

Dans une ambiance de fête, le jour, onirique, la nuit, j'ai donc marché plus de 17 heures pour couvrir cette distance en 1984 et plus de 13 heures en 1988.